lundi 16 novembre 2015

Pourquoi le coussin de maternité est-il indispensable ?

Le coussin de maternité ou coussin d’allaitement est un outil essentiel pour aider les mères lors de la grossesse et surtout après la naissance. C’est un polochon ou un traversin en forme de U ou de croissant, utile pour contenir les pertes de lait, alléger les douleurs que l’on ressent lors de la grossesse, plus particulièrement au niveau des jambes, du dos. Il peut également servir de jouet pour le bébé lorsqu’il grandit étant donné que le coussin de maternité est tout à fait douillet.
Il faut aussi préciser que vous pouvez parfaitement employer ce polochon  lorsque vous avez besoin de donner le biberon à votre bébé pour que vous puissiez vous sentir à bien à l’aise, car cela permet de bien adosser l’enfant selon la bonne manière.

Le remplissage d’un coussin d’allaitement



Un coussin de maternité doit en général contenir de billes pour qu’il puisse être à la fois souple et tendre tout en étant facile à modeler. Mais dans certains cas, il est rempli par de graines naturelles, de micro billes ou même de perles. Pour mieux s’adapter à la santé d’une femme enceinte et d’un bébé, il faut que les micro billes  proviennent d’un produit qui n’est pas toxique et ne provoque pas des  allergies notamment le polystyrène ou le polypropylène. Donc, les fabricants se servent de balles d’épeautre, qui est fortement à renoncer si l’on est allergique aux graminées. Par contre, il existe des modèles fabriqués à partir des grains de panic ou millet, des graines de barbarie ou de sarrasin et les billes de liège. Il est à noter qu’il y  a de polochons faits avec des billes artificielles, qui permettent une position beaucoup plus ferme. Tandis que les coussins d’allaitement naturels sont plus ou moins pesants. Sachez encore que vous avez le choix entre le coussin d’allaitement court, qui est préférable pour allaiter et le coussin d’allaitement long qui correspond aux besoins d’une femme enceinte. Vous pouvez vous en procurer soit auprès d’un magasin spécial enfant soit dans les grandes surfaces et ce traversin est aussi commercialisé avec une housse pour le recouvrir et éviter que vous transpirer à son contact.  

jeudi 23 juillet 2015

Comment peut-on identifier l’hyperactivité chez un enfant ?



D’abord, il est bon de rappeler qu’un enfant hyperactif est un enfant dont le comportement est caractérisé par une activité excessive et par un manque de concentration. Cependant, ce n’est pas une tâche aisée de reconnaître qu’il souffre de ce trouble, car il existe des cas où le tout petit présente des troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité d’où la naissance du terme TDAH. Ainsi, seul un professionnel en la matière peut éclairer qu’il l’est, et ce, en fonction des divers phénomènes subjectifs qui le révèlent.

Les diverses causes de la suractivité d’un jeune enfant


Il faut préciser que les causes de l’hyperactivité d’un enfant peuvent être nombreuses et différencient d’un enfant à un autre. On peut citer l’hyperactivité motrice qui est due au fait qu’il présente des comportements brutaux ou agressifs tout en agissant sans  réfléchir, sous l’impulsion de mouvements spontanés. Dans ce cas, il peut se remuer vivement de manière constance à l’heure du coucher par exemple. Il y a également le trouble d’attention qui peut déséquilibrer sa performance scolaire ou bien qu’il a du mal à achever une tâche. Il semble absent c’est-à-dire qu’il ne fait pas attention à ce qu’il dit ou fait, ce qui explique la défaillance de la mémoire. Sachez aussi que l’enfant peut être insouciant comme le fait de désobéir tout le temps ou de ne pas écouter ou encore d’interrompre souvent quelqu’un pendant que celui-ci est en train de parler… Il faut préciser que l’hyperactivité n’est pas due à la turbulence ni à l’agitation de l’enfant, mais plutôt au manque ou à l’insuffisance de la concentration de l’activité mentale. Notez encore que ce genre de trouble vient du système nerveux et peut avoir lieu à la suite d’un manque de substance émise par une synapse servant à acheminer l’influx nerveux, mais il peut aussi être relatif à l’hérédité. Il ne faut pas oublier le choc crânien et  les difficultés rencontrées lors de la grossesse ou au cours de l’accouchement peuvent rendre un enfant hyperactif



Que peut-on faire pour l’aider ?


Il faut souligner d’abord que les médicaments ou les aides psychosociales offertes à un enfant atteint du trouble de l’attention ne servent qu’à estomper son effet pour qu’il puisse le mener à bien. On peut opter par exemple solliciter les compétences d’un spécialiste en correction des troubles d’élocution ou en rééducation psychomotrice. Il est important aussi que chaque membre de la famille participe au soutien moral de l’enfant que ce soit sur ses études ou  ses activités de tous les jours.  On peut également l’assister pour vaincre les difficultés nées de son propre comportement en apprenant soit à modifier ce comportement, soit à identifier les circonstances au cours desquelles il se manifeste et à agir indirectement sur lui.


mardi 30 juin 2015

En quoi consiste la mycose vaginale ?



La mycose vaginale est définie comme une affection provoquée par des champignons parasitaires qui sont souvent détectées dans les matières fécales des femmes qui en souffrent. Il faut noter que cette maladie atteigne d’innombrables femmes au moins une fois dans leur vie, probablement lorsqu’elles sont enceintes. Cependant, si elles ne reçoivent pas de soins appropriés à temps, elle va se produire trop souvent. Et seul un spécialiste est en mesure de vous indiquer tous les médicaments ainsi que les gestes pratiques nécessaires en vue de rétablir votre santé.

Les points à savoir sur ce type de maladie

Il est crucial de préciser que la mycose vaginale est provoquée par un champignon nommé Candida Albicans qui est responsable des altérations de la peau et des muqueuses chez l’être humain. De cette manière, la mycose va se développer de manière inimaginable à cause de la candidose. C’est pourquoi, il est très indispensable de ne pas minimiser la toilette intime de tous les jours tout en veillant à ce que l’eau utilisé soit entièrement propre et tiède. En principe, ce sont les femmes qui en sont victimes par le fait que le champignon va agir sur le vagin et la vulve d’où le terme mycose vaginale ou mycose vulvo-vaginale. Mais, les hommes peuvent également avoir ce type de maladie connue sous le nom de mycose génitale masculine. Il est bon de savoir qu’elle peut toucher toutes les classes d’âge même les jeunes filles.

Quels sont les éléments participant à ce problème ?

Il est capital de réitérer qu’il existe plusieurs raisons pour lesquelles une femme puisse attraper la mycose vaginale. Il y a d’abord les rapports sexuels non protégés, la prise de médicaments non prescrits par un médecin notamment les antibiotiques, la nervosité, le diabète, la chaleur, l’immunité déficitaire. Elle est également causée par le fait de manger trop d’aliments riches en sucres ou qui manquent de vitamines pour l’organisme, une toilette intime inadéquate, le port de vêtement trop serré ou de lingerie synthétique,  la piscine ou le sauna… Quoi qu’il en soit, dès que le sujet aperçoit quelque chose d’anormal au niveau de l’organe génital, il faut immédiatement consulter un docteur, plus précisément un gynécologue. Les phénomènes subjectifs qui révèlent ce trouble sont des picotements ou irritations, des brûlures surtout après les rapports sexuels, une abondance de la sécrétion des pertes blanches. À cet effet, il faut également prendre des mesures préventives pour éviter à tout prix la récidive de la maladie comme le fait de ne pas conserver les tampons ou serviettes hygiéniques plus de 3 h lors lorsque vous êtes en règle. Il faut aussi faire attention à ne pas vulnérabiliser votre flore vaginale lors de la toilette intime tout en vous assurant que vous vous êtes bien séchés et que votre sous-vêtement est fait entièrement avec du  coton.


Ce que l’on peut apprendre sur les pertes blanches

D’abord, il est important de savoir que les pertes blanches, connues autrement sous le nom de leucorrhées sont un écoulement vulvaire blanchâtre, parfois purulent, révélant une sécrétion excessive des glandes du vagin et de l’utérus. Elles sont  tout à fait relatives à la nature physique d’une femme et peuvent apparaître pour la première fois à la préadolescence. Durant toute sa vie, une femme produira souvent des pertes blanches, néanmoins, si elles dégagent une odeur très désagréable ou que leurs couleurs changent en jaune ou en vert, il y a de quoi s’inquiéter puisqu’il peut s’agir d’une infection.



A quoi servent ces sécrétions ?


Il convient de rappeler que les leucorrhées sont absolument différentes d’une femme à une autre, ce qui fait qu’elles sont secrétées soit en abondance soit en de faibles densités. Elles sont utiles pour enlever les saletés du vagin tout en le lubrifiant. En fait, elles jouent une mission très importante lors de l’ovulation pour faciliter l’entrée des gamètes ou spermatozoïdes dans l’utérus dans le but d’assurer la reproduction. Elles visent également à éliminer les cellules mortes localisées dans la paroi  de cet organe femelle pour assurer votre hygiène. Ainsi, il est toujours conseillé de favoriser votre toilette intime journalière en utilisant de l’eau propre, de préférence tiède, car elles peuvent causer une gêne physique. Il est à noter qu’il existe différentes raisons pour lesquelles ces sécrétions sont évacuées. On peut citer par exemple l’ovulation à l’intérieur de laquelle on peut remarquer une accentuation des pertes blanches juste quelques jours avant cette période. Il y a aussi la grossesse, le stress, l’ensemble des comprimés à base d’hormones, dont le rôle est d’inhiber l’ovulation, la variation climatique ou encore dans le cas où votre désir sexuel est éveillé. Donc, si vous observez quelques choses d’anormales lors de la sécrétion des pertes blanches comme une douleur par exemple, la consultation d’un gynécologue est de mise.




Dans quels cas faut-il s’alarmer ?


En règle générale, les pertes vaginales n’ont pas d’odeur et présentent toujours une couleur peu foncée avec un aspect du lait. Elles n’occasionnent pas d’inflammation ou de rougeur ni même de brûlure et ne durcissent pas votre sous-vêtement. Il est important de retenir qu’il y a ce qu’on appelle les pertes sales qui sont à l’origine soit d’une maladie sexuellement transmissible soit d’une pénétration et d’une fixation dans l’organisme de microbes. Donc, il faut accorder une attention particulière quant aux changements relatifs à ce qui a été dit précédemment. Les maladies fréquentes inhérentes aux pertes vaginales sont les mycoses vaginales qui sont provoquées par des champignons parasitaires ou une absorption de médicaments susceptibles d’apporter un déséquilibre de la flore vaginale, la chaleur… Mais, il y a également les infections vaginales proprement dites qui sont dues à une mauvaise toilette.

vendredi 22 mai 2015

L’allergie : une maladie qu’on rencontre couramment chez les plus jeunes enfants



Il est bon de savoir d’abord que l’allergie est une réaction excessive de l’organisme à un agent extérieur auquel il est particulièrement sensible et chez les enfants, ce problème est vraiment fréquent. En outre, elle peut continuer jusqu’à l’âge adulte selon les cas. Approximativement, un enfant américain sur cinq souffre d’allergie et les chances de votre enfant d’être atteint d’une allergie peuvent être élevées, surtout en cas d’antécédents familiaux. Si l’un des parents présente une hypersensibilité telle que l’asthme ou la fièvre des foins, alors votre enfant a quatre chances d’être allergique. Tandis que si les deux parents sont allergiques, leurs enfants possèdent toutes les chances de l’être aussi et la maladie peut se développer à un âge plus précoce.

Quelles sont les causes de l’hypersensibilité ?


Il existe un nombre infini de la présence des allergènes dans les substances pouvant causer des allergies. Cependant, n’importe quoi peut déclencher une réaction allergique chez un individu, mais dans la plupart des cas, on trouve les acariens de la poussière domestique,  l’herbe à poux, les moisissures, les poils d’animaux. Il y a également les aliments, le pollen de fléole, la fumée de tabac et les plumes. La réaction allergique se produit quand votre bébé est exposé à un allergène et donc peut être atteint d’un eczéma, d’une éruption cutanée, d’éternuement, d’un écoulement nasal, de larmoiement ou même de démangeaisons des yeux. 

Nombreux sont les tous petits allergiques qui sont asthmatiques et les allergènes causent un sifflement, une difficulté de respiration et une toux chronique. L’asthme est l’une des raisons fréquentes des absences scolaires et peut être décrit comme un trouble respiratoire d’origine allergique, psychologique, infectieuse ou cardiaque se caractérisant par un blocage de la respiration. En fait, les attaques d’asthme peuvent être fatales s’ils ne sont pas traités à temps et peuvent en arriver à d’autres allergies aux aliments et aux piqûres d’insectes.  Ainsi, si votre enfant a un problème sérieux de respiration et/ou de déglutition après avoir reçu une piqûre or mangé certains aliments, consultez immédiatement un médecin. 


Ce qu’il faut impérativement faire en cas d’allergie


Si vous croyez que votre enfant présente des signes allergiques, discutez de ses symptômes avec un docteur. En effet, ce dernier ou un spécialiste des allergies pourra procéder à des tests pour découvrir s’il en souffre vraiment tout en mettant en œuvre les traitements à suivre. Il faut préciser que les actions et manières de soigner cette maladie peuvent consister à rester tout simplement loin des sources. On peut par exemple, apporter des changements favorables à l’environnement de la chambre à coucher si un jeune enfant est très sensible à la poussière des acariens. Il faut éloigner les moquettes et les animaux en peluche, car ils font l’objet de refuge des acariens  où ils se développent très rapidement. Les acariens sont des insectes microscopiques qui vivent dans les tapis, meubles rembourrés, rideaux, oreillers, draps… Ils prospèrent également dans les matelas qui généralement doivent être couverts de plastique ou d’un autre revêtement imperméable. Certains allergènes comme les pollens sont tout à fait omniprésents et il faut les éviter autant que possible. La décision ultime du traitement des allergies dépendra sur comment votre enfant est-il sensible ou qu’est-ce qui le rend inconfortable ? Les médicaments peuvent soigner les symptômes et les périodes de désensibilisation peuvent éliminer les réactions allergiques. Pendant les traitements, il ne faut pas oublier de parler avec le médecin des avantages et des inconvénients de chaque option à prendre pour guérir les allergies. 
 










mercredi 1 avril 2015

Le développement du langage chez un bébé



La communication est tout sur le langage et ne pensez pas que votre bébé ne peut pas s’exprimer avec vous parce qu’il ne sait pas encore parler. Mais, sachez qu’un tout-petit dispose d’un arsenal d’outils de communication pour vous faire savoir ce qui lui arrive. Cela inclut les expressions faciales, le contact visuel, le langage du corps ou l’expression corporelle, les sourires et les froncements de sourcils. N’oubliez pas aussi les pleurs est une autre forme de communication. À en juger par votre rapide réaction, les pleurs sont vraiment un instrument de communication efficace pour un bébé. C’est un moyen pour qu’il puisse dire « J’ai faim », « J’ai chaud » ou « J’ai des gaz ». Et bientôt, vous serez habile à discerner les pleurs qui disent « J’ai faim » et ceux qui expliquent « Je m’ennuie, amusez-moi ».

                


Les premiers mots dont un bébé peut manifester

 


En règle générale, les premiers sons que l’on peut percevoir chez un bébé sont le roucoulement, le crissement et le gazouillement. Ceux-là commencent à partir du troisième mois, selon chaque petit. Mais après, vous pouvez entendre des sons de voyelles et consonnes. Vous allez également voir une combinaison de consonne-voyelle telle que « ma-ma » ou « ba-ba-ba ». Il existe une grande variété d’âges selon laquelle un enfant puisse dire un vrai mot. Et il commence à nommer les noms de personnes qui lui sont spéciales comme « Mama » et « Dada » entre 6 mois à 1 an. À partir d’un an, il peut déjà parler une dizaine de mots où il utilise ses propres expressions pour les objets comme les tasses, les biscuits, les bouteilles et pour les animaux comme le chien. Et de là, votre tout-petit pourra probablement comprendre une cinquantaine de mots, mais il n’utilisera que certains d’entre eux. À deux ans, il peut deux fois appréhender ou saisir ce que vous lui disiez et associer deux ou trois mots en une phrase. Laissez lui faire des expériences liées au langage et ne lui exigez pas de parler pour impressionner quelqu’un, car cela ne marchera pas. Au contraire, cette demande l'empêche de communiquer.



Ce que vous pouvez faire pour aider votre enfant à bien parler


Sachez que vous pouvez encourager le développement de la parole et du langage de votre enfant en ayant l’habitude de lui parler et de l’écouter. Parlez-lui de tout, discutez de la météo ou de la politique ou même de votre film préféré. Peu importe ce que vous lui racontez, il aime simplement vous regarder et entendre votre voix. Durant la conversation, essayez de lui accorder une attention soutenue, car c’est ainsi qu’il commencera à apprendre sur le langage verbal. Et il apprendra également que ce langage est amusant. Il jouera avec celui-ci avant qu’il arrive à dire de vrai mot. Il va jacasser un peu et vous avez l’impression de ne rien comprendre sur ce qu’il dit. C’est pourquoi lisez-lui souvent et quand il sera grand, il va aimer les livres. Lorsque votre enfant arrive à parler, évitez de lui terminer ses phrases ou de corriger sa grammaire. Essayez simplement de redire le mot ou la phrase convenablement. Il arrive qu’à trois ou cinq ans, un enfant puisse bégayer parce qu’il a peur ou qu’il est dans un état d’agitation. Et c’est tout à fait normal, mais ne le forcez pas à dire le mot exact tout en assurant que ses frères et sœurs ne se moqueront pas de lui. Mais, si au-delà de cette période, l’enfant ne change pas d’habitude, il peut être utile de consulter un orthophoniste.